L'Océan est là, l'eau est claire, la plage est déserte. Parfois, un moteur rugit au loin, un expat arrive au volant de son 4x4 poussiéreux, pédale d'accélérateur enfoncée, puis repart aussitôt (Il subit sans doute un entraînement à la conduite délicate sur le sable, avant, probablement, d'affronter les vraies dunes du vrai désert !)
L'air est un peu moins suffoquant qu'en ville. Mais la température reste très élevée. Le petit dernier aura droit à son biberon dans la voiture, moteur tournant, clim en marche, plutôt que dehors, par près de 40° à l'ombre !
La faune se fait discrète, mais est néanmoins présente: petits poissons argentés, crabes, mouettes...Nous ne nous baignons pas vraiment, juste les pieds dans l'eau chaude... Sur le sable, on observe des traces diverses. Nous sommes bien incapables de savoir de quel animal il s'agit !
Le retour à Mascate, en suivant les explications du bouquin, est laborieux, puisque la route indiquée n’est plus praticable. Nous goûtons donc aux joies des pistes, en traversant un «Wadi» plaine encaissée comme un canyon, avec de part et d’autre des palmeraies.
De l'intérêt de conduire tous les jours un 4x4...
On the road...
Travail de patience du pêcheur
Wadi Yitti: de l'eau=un hameau à proximité, des chèvres à poils longs, et des enfants errant près de la route.
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